Geoffrey Boissard, ingénieur au BRGM, a reçu un prix du Cerema pour sa contribution au projet "Valorisation des matériaux alternatifs dans la construction des infrastructures et des bâtiments". 
26 avril 2018
Remise du prix du Cerema

Remise du prix "Valorisation des matériaux alternatifs dans la construction des infrastructures et des bâtiments" du Cerema. 

© Cerema 

Le 29 mars 2018, le Cerema a remis plusieurs prix scientifiques illustrant la diversité de ses partenariats, lors d’une cérémonie qui s’est tenue à l’université Lumière Lyon 2. 

Représenté par Stéphane Buschaert, directeur du BRGM Auvergne-Rhône-Alpes, le BRGM y a été primé dans la catégorie "Rayonnement du Cerema". Ce prix a été décerné à l’ensemble de l’équipe du projet "Valorisation des matériaux alternatifs dans la construction des infrastructures et des bâtiments" dans lequel intervient Geoffrey Boissard, hydrogéologue modélisateur au BRGM. 

Valorisation des matériaux alternatifs : du recyclage à l’impact sur les eaux souterraines 

Ce projet, initié par le Cerema en collaboration avec de nombreux partenaires dont le BRGM, vise à valoriser les déchets générés lors de la construction ou la déconstruction d’un bâtiment (bétons, briques,…) dans plusieurs types d’aménagement (fondations, dallage,…). Il s’intègre dans une démarche privilégiant la réutilisation et le recyclage des déchets par rapport à l’élimination en installation de stockage. Cette démarche est menée en veillant au bon respect de la protection de l’environnement et des eaux souterraines en particulier. Dans ce cadre, la contribution du BRGM a permis d’évaluer, par modélisation, l’impact potentiel de l’utilisation de matériaux issus du BTP sur la qualité des eaux souterraines. 

Parcours de Geoffrey Boissard 

Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de Géologie en 2005, Geoffrey Boissard intègre l’unité "Sites, sols et sédiments pollués" du BRGM en 2010 en tant qu’hydrogéologue modélisateur. Fort de ses expériences préalables en bureau d’étude, il intervient sur des missions d’appui aux politiques publiques et des projets de recherche dans le domaine de l’environnement et de l’hydrogéologie appliquée aux sites et sols pollués, de la caractérisation à la modélisation des pollutions.